squirt gratuit

Notre service etait fini, il est presque minuit, les employees et moi , nous asseyons a une table, l’equipe de nuit a commande la releve.

Notre service etait fini, il est presque minuit, les employees et moi , nous asseyons a une table, l’equipe de nuit a commande la releve.

Comme souvent la conversation s’engage concernant le sexe. Avec un peu de recul j’ecoute les 6 jeunes filles assises autour de moi, parler librement de leurs experiences ).

Elle reste assises en face de moi, elle reste jeune limite 18 annees ! Je la regarde, son teint est pale, elle reste blonde, le regard une jeunesse, elle a de magnifiques petits grains de beaute sur le visage. Elle ecoute le sourire aux levres, fait parfois sans devoiler pas grand chose d’elle, des allusions, des remarques opportunes et pertinentes sur les debats de ses collegues .Fait sourire et rire l’assistance.

Peu a peu les gens partent.Elle, est, parfois me regarde etrangement, le doute s’empare de moi !

Pourrait etre celle-ci interressee? Le sujet est la ! Que cherche t’elle ?

Elle n’a pas de moyen de locomotion et decline les propositions, des premieres collegues, a la raccompagner chez cette dernii?re.Son copain, futur mari devrais je dire , devra dormir a cette heure ci.Il est rentre de l’armee depuis 15 heures et elle bosse ici depuis 2 mois, i  l’origine, Afin de la saison, mais apres avoir appris l’echec de ses examens de bac, i§a a decide de rester ici d’emmenager dans une chambre bien pres pour continuer a bosser .

Nous ne sommes bientot plus que des a la tableJ’attends ! mon esprit s’agite qu’attend t’elle ?

Le amie et colleque decide de partir, j’attends sa propre reponse , mon souffle semble s’i?tre arrete !que va t’elle repondre ? Accepter l’invitation ou la decliner pour que je puisse a mon tour le lui proposer ? )

Elle accepte, j’suis surpris , etonne, je me dis : ” Bruno tu as cru quoi ? tu es trop . !

Elles se levent l’ensemble des 2 , prennent leurs affaires posees sur la table voisine me souhaitent une bonne nuit et sortent du restaurant par la porte situee derriere moi !Je ne me retourne pas, cherchant une explication! me suis je trompe ?

J’me leve qd j’entends la porte se refermer, les regarde a travers les vitres du restaurant.Elles ont fait certains nullement et se seront arretes, elles discutent !

Je passe au travail arriere pour recuperer la veste eteindre les pc, ainsi, je depoussii?re.

Elle est la dans l’allee a deux metres de moi, elle m’attendait, je la regarde : – ” vous vouliez quelque chose ? – vous pourrez me reconduire ? – beaucoup concernant !

je lui fera signe, de perdre devant, j’en profite pour admirer les contours de sa tunique. Delicieux

Nous quittons le restaurant apres avoir salue l’equipe de nuit. Arrivee a Notre voiture je lui ouvre la porte passager et l’invite a entrer.

Nous faisons des metres en voiture , une centaine, je la regarde , elle reste genee, je m’arrete : – ” Vous voulez qu’on parle ? “- “Oui j’aimerai bien ! “

Je lache le volant une main droite et pose ma main sur na nuque, je la regarde tendrement.Elle s’avance legerement , le mouvement est presque imperceptible, J’me tourne dans mon siege et m’approche de son visage, elle ferme avis sur squirt les yeux, je pose delicatement les levres sur les siennes.Sa bouche s’ouvre doucement, je m’impregne de le parfum, d’la douceur des levres, les langues s’approchent, se touchent, tournent doucement, s’apprehendent .

Ma main forcement derriere sa nuque, caresse J’ai racine de ses cheveux , ils sont longs et blonds, fin et soyeux.

Ce premier baiser et long et profond, le souffle est court, J’me laisse envahir par la chaleur et la douceur de ce baiser, de sa propre bouche. Nos langues se retirent un tantinet, hesitent a se detacher, celle-ci a toujours les yeux fermes. Moi j’ai ouvert les miens, je la regarde, ses joues sont legerement roses, sa peau est douce.Nos levres se detachent, des regardes n’expriment que dalle d’autre que le plaisir du moment, la satisfaction de la le desir commune enfin assouvie, et l’on sent monter en nous d’autres envies !

– ” Vous voulez qu’on ailles discuter dans un endroit plus tranquille ? “- ” oui ” en fermant le regard pour conforter sa reponse !

Je repars doucement je roule presque au nullement , ou aller ? C’est la campagne , le village est a quelques kilometres 2 ou 3 tout au plus, les champs nous entourent, nullement une foret, un endroit quelque minimum a l’ecart ? je cherche !

Au soir carrefour avant le village, je prends a droite, continue un moment et entrapercois dans l’obscurite, une grange ou plutot un hangar, un peu en retrait en route, je peux quitter la chaussee sans risquer de m’embourber et etre un tantinet a l’ecart, meme si la voiture reste a la vue du premier passant. Je m’arrete coupe je contact et me tourne par elle.

J’ai l’avant bras pose sur son fauteuil, ma main marche au dessus de son epaule et mes doigts frolent son visage, elle me regarde, ne devoile pas grand chose, son regard et tendre et a la fois inquiet, je caresse doucement sa joue du revers d’une main, elle penche la tete, recherchant le contact, un brin de douceur!

je me tourne quelque peu plus vers elle me positionne de facon a etre le plus i  ci?te possible, sans la quitter du regard!

Je pose la main gauche dans sa joue , la droite a attrape le dossier de le siege et retient une telle le desir que j’ai de m’approcher d’elle de gouter, a nouveau, a ses levres chaudes et sucrees, en vain ! Nos corps paraissent attires l’un vers l’autre, nos visages se rapprochent, les yeux ne se “lachent plus”, je sens le souffle sur notre visage, je baisse le regard, regarde ses levres, mon desir et d’y deposer nos miennes, elle continue a s’avancer, nos langues vont a Notre rencontre l’une de l’autre, le contact est magique, la main a glisse de sa joue dans le cou, ce baiser reste mele de souffles, de petits gemisseents de relachement, comme lorsqu’il avait ete le premier de la interminable separation !

Tandis que nos levres s’apprivoisent dans un elan communs, ma main gauche descend doucement le long de son bras, passe concernant sa cuisse, devient plus presente au fur et a mesure qu’elle descend.Le tissu laisse le poste a Notre chair, elle est fraiche, mes doigts glissent sur le genou, en font le tour, le dechiffre comme un aveugle lirait 1 livre, mon esprit en matierialise les contours.

sa propre main reste venu se poser derrier ma tete, carresse mes cheveux , elle m’attire a i§a .

Je retire ma main de sa cuisse, ainsi, remonte aupres du bas de sa tunique, les boutons sont devant, je hais ces robes de boulot , elles paraissent vraiment trop moches mais sur ma chance, les boutons devant sur toute la longueur paraissent plutot des bienvenus .